Au sommet d'un corps puissant de plus d'une centaine de kilos, son visage est enfantin. Ses gestes sont mesurés et précis. Il porte un pantalon kaki en toile et un tee-shirt noir ; aux pieds, des ballerines, comme une anomalie. Il referme soudain son magazine et le déchire en deux, puis en quatre, avec une facilité déconcertante, comme s’il s’agissait d’une seule feuille de papier. Un geste de géant, de viking, aussi inattendu qu'impossible.