Excusez-moi, mais il faut que je retourne
dans les années 70, chez Claude Nori : il y a à boire et à fumer, et plein de nouveaux photographes qui font semblant de faire n’importe
quoi. Ca débat, ça gueule, ça bosse, ça rigole. Ils font la révolution en se poilant, on dirait bien que tout est possible...